Au royaume des bûcherons, les hommes sont sans doute les rois et Ben Verellen doit assurément porter à merveille la chemise à carreaux. Mais plutôt que de se cantonner à tailler du gros riff gras, ajouter, non pas une, mais deux touches féminines, rend la musique du trio infiniment plus chaleureuse et apaisante. Se répand alors une sensation de bien-être dont la puissance n’a d’égale que la beauté. Aussi rafraîchissant qu’intense.