Si l’hibernation permet à certains êtres de survivre pendant les mois difficiles, pour ces pionniers de la scène oï française, il semble que leur longue interruption (27 années tout de même!) leur a surtout permis de conserver intact cet esprit de rébellion. Une hargne servie par des hymnes à l’odeur de rue et de houblon. Alors, punks de tous horizons, unissez-vous. D’une même voix et dans leurs pas, la voix de la oï ne s’éteint pas !