Si l’Enfer devait avoir une playlist, il y a fort à parier que le Prince des Ténèbres irait piocher du côté des sorties discographiques de ces sauvages du Maryland. Leur brassage chaotique et hautement malsain de powerviolence, grindcore et harsh noise a tout de la berceuse idéale pour ce bon vieux Cerbère. C’est sale, bestial et ardemment décapant. De quoi donner envie aux plus fougueux d’entre vous de franchir les portes du Mal.