Mené par la tonitruante Anaiah Lei (Dare, Culture Abuse), ZULU ne fait pas le voyage depuis Los Angeles pour enfiler des perles, mais il peut faire un joli collier de vos chicots en guise de cadeau de fête des pères le lendemain. Mais limiter son powerviolence à sa fureur serait réducteur, l’idée étant d’aborder la condition de la communauté noire et de prouver que cette dernière a plus que son mot à dire au sein de cette culture.